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RETRATOS ecuatorianos

Retratos ecuatorianos considère dans le modèle l’être humain plus que le migrant, pour lui rendre sa place dans la société à laquelle il appartient. Le corps et le visage ne peuvent pas être seulement le registre d’une histoire migratoire. Ils sont le registre du passé tout comme de ce monde qui se construit et qui s’imagine. Sans prétendre raconter ou expliquer, les photos prennent acte de ces histoires individuelles. Dans cette série, refuser la narration, c’est ménager le droit d’être, simplement, sans épithètes.

 

Entre 2014 et 2015 la galerie de 100 portraits a été achevée.

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